Saccage hivernal. Sac. Cage. Détrompez vous. Appelez moi comme il, elle, vous m'appelleriez. Laura Lisa Elsa. Je suis là pour vous, elle est là pour moi. ANS. VIE. MODE. ENVIES. PHILO. SOPHIE MOTS. DANDY. MAUD Henri
20100423
20100422
Ils disent que ma peau dorée a un vicieux goût de sucre amer...

Blam, Roy Liechtenstein.
20100415
Chaque question je réponds "Oui !" à qui dicte ma sentence
Je lisais ces paroles de Naast, que je ne connais pas. Car je visite des intimités peu pudiques il faut le dire, et moi mes aménités me font la nique, tendent à périr. Et je rêvais la nuit sous les astres, je ne les voyais pas. C'est ma mémoire qui flanche, c'est elle qui me fait faux bond, ces doux songes sont pour une autre, demain, comme aujourd'hui, comme hier, il ne reviendra pas dans ces Rêves pour l'hiver. Je pensais à toi, S. à moi, à notre désastre, à nous seuls dont l'amour guidait nos pas.
JE ME SUIS BIEN FAIS BAISÉE.
Et puis après j'y repense, à la vie ses aléas, je me dis souvent que c'est bête ce qu'on a fait, un vrai faux pas. Il aurait fallu tout laisser couler, le temps, la distance, le glas, tout s'arrêter pour qu'enfin après ce long silence l'on retrouve nos choix. Et bien sur, c'est ce que l'on n'a fait en aucune manière. On s'empresse de s'enlacer de lanières qui nous fixent, nous empoignent et je je me dérobe et tu déroges et nous fuyons les vrais semblants, nous nous marierons comme deux vieux et anciens amants.
Tout ce qu'il ne fallait pas faire et bien on l'a fait. On n'a jamais rien su éviter et maintenant. C'est pas la galère oh non, jamais. C'est vraiment la misère, à tout redresser. Et quand j'y songe était-ce hier, devons nous regretter ? En réalité peut être que non car te perdre n'est pour moi, aucunement source de félicité.
20100405
Amour, je prends congé de ta menteuse école
Et, pendant que Marion C s'engage dans un long métrage avec mon Woody préféré, long métrage dont le tournage est prévu pour début juillet et dont le titre et le, ou les scenarii sont encore inconnus à ce jour - Woody ne dévoile jamais ses sources et moi j'aime les surprises. Donc c'est pour cela que je l'aime - pendant donc que je m'efforce de produire des syllogismes qui n'ont de pertinence que leur superficielle parure, pendant que mon frère s'arrache les jambes et les synapses sur son suprême Daccordi, quelques kilomètres plus au nord, et alors même qu'il serait grand temps pour moi de me pencher plus avant sur les dernières lignes des Fondements MDM de ce cher Manu-Manu, ou de feuilleter hardiment l'Enquête sur l'entendement humain, je faribole sur mon clavier et je cajole mes aménités.
Amour, je prends congé de ta menteuse école
Où j'ai mal employé ma jeunesse trop folle
Qui nous paie de créances et d'un songe frivole
P.R.
Mais je pars tu me retiens, je m'en vais tu me reviens, oublie moi, que tu fus mien. En réalité jamais cela n'aura été. Nous continuerons de nous aimer. Boisée de septembre, boisée d'été, et jamais assez qu'il n'en faut pour oublier. Je fus tienne et ces chaînes que nous croyions d'acier et bien peu de temps leur fallut pour se briser.
Personne ne m'a comprise j'en suis bien aise, nous deux hier moi seule cette heure, les jours s'en sont allé, je demeure.
20100320
Intelligenti pauca
La vie est d'un ennui, vous n'avez pas idée... et en plus, elle passe vite, elle s'affole, elle court, l'ingrate. Hier je pensais à toi M., je me disais que vraiment, vraiment tu me manquais. J'ai parlé de toi à des amies, ce fut vite expédié. T'aurais pas dû partir si vite. Enfin c'est mon avis.
Et maintenant que dire, que faire ? Que faire ? Lénine, sors de ce corps, je veux un sac Longchamp. Pas un sac de prettypouf, grand dieu non ! Un Longchamp, un vrai. Zut, j'en ai déjà un... la vie est d'un ennui vous dis-je. Et comme je n'en sors pas, je n'en sors plus, de cette infâme période de superficialité latente, autant être superficielle jusqu'au bout des doigts (des ongles). Marie, superficielle, tu seras ! Tâche ardue.
Du parfum. En voilà, un parfait sujet de débat. Quel parfum ? Cela ne tiendrait qu'à moi, ce serait tout vu déjà. Le Chérie de Miss Dior, évidemment. J'ai eu ma période Lancôme (avant je tournais au Trésor), alors pourquoi pas changer. Avec Dior, au moins, je privilégierais la rime. Sauf que. Et oui, sauf que Dior... Miss Dior... Chérie... et bien c'est déjà démodé. Encore, Trésor, c'était hype, un parfum connu par sa publicité mais ignoré des côtés Sephora, Printemps et Marionnaud, desquels n'en faisaient guère grand cas. Mais avec Chérie, c'est déjà la banalité. Une senteur que chacune se sera empressée d'acquérir. Quelle originalité !
Adieu Chérie. Je pérégrinais donc. Et puis en allant acheter cette veste l'autre jour, je n'ai pas pu m'empêcher de faire un petit tour et de jouer des dés. L'Eau d'Issey d'Issey Miyake. Et bien voilà. Frais, inconnu, fruité. Et même : antique.
Nota Bene
Il y a tout de même une morale. Pourquoi faire simple lorsque l'on peut toujours tout rendre compliqué ? C'est tellement plus amusant !
Inutile de rajouter que j'ai des vues sur Lola ? de Marc Jacobs ? Ahah
Veux et fais ce que tu aimes.
Je suis une bourge révolutionnaire. "Tout ce que je sens hors de moi et qui agit sur mes sens, je l'appelle matière".
Je suis mon propre terrain d'expression. Je confronte les genres. J'agis par réaction. Mes basics sont les classiques, mais seulement quand je les tarabuste avec d'autres classes sociales de la mode. Alors je fréquente le sportswear, le glitter, le cool, le ralph, le rock... et convoque toutes les matières. Une veste madame, un tailleur sage, une blouse en lamé, une lavallière, des jodhpurs, ces mocassins. Je ne respecte rien. Cela me va et selon certains ça l'est tandis que pour d'autres ce n'est pas si évident.
Je brise les codes, les néobourgeoises s'en effarouchent. J'aime ça.
Alors, tardant encore à faire mon choix d'accessoires, je jetais l'éponge. Ce sera le foulard. Après tout, personne n'agrémente un sac d'ordinaire. Et un Longchamp est, par définition, son propre agrément. Peut importe. Du vent, le carré de soie. Le mouchoir ira.
Alors, tardant encore à faire mon choix d'accessoires, je jetais l'éponge. Ce sera le foulard. Après tout, personne n'agrémente un sac d'ordinaire. Et un Longchamp est, par définition, son propre agrément. Peut importe. Du vent, le carré de soie. Le mouchoir ira.
20100316
Je vends du rêve, je le sais, inutile de me le rappeler
Les achats à venir ? Vous aimeriez savoir ? Et quand bien même vous le voudriez, vous le dirais-je ? Je n'en ai pas envie. Je crois, jamais. Mais certainement que cet été, Marie's basics summer sera. Ou pas. J'ai toute une garde robe à faire. A agrandir. A refaire. Non. A approfondir. Après tout, est-ce la mode qui se renouvelle ou sont-ce les envies ? Encore une chose à ne pas oublier. La vie est d'un style ! Pfiou, comment dire ? U.N.I.Q.U.E.
H A S B E E N
Hermès
20100311
I was saying WELCOME to my Hermès Bugatti Bag
Eh oui, l'attente est toujours récompensée, voyons bien sûr que je sais de quoi je parle. Mais je m'en tiendrai à cela. Et quelle volupté, ce cuir, cette forme, si classique, c'est fun, c'est hype. C'est vintage en somme. Vintage suits me so well.
OMG. Oh My God. Je pourrais mourir dans ma superficialité. Dans ces conditions ? Quand même pas. Non non non. Pas après l'avoir porté une fois, rien qu'une.
AUCUNE INQUIÉTUDE A AVOIR POUR MOI DÉSORMAIS, tout va pour le mieux... dans le meilleur des mondes !
J'ai trouvé Harold, j'ai trouvé Sulivan.
De là Mlle Bugatti Veyron.
De là Mlle Bugatti Veyron.
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