20100405

Amour, je prends congé de ta menteuse école

Et, pendant que Marion C s'engage dans un long métrage avec mon Woody préféré, long métrage dont le tournage est prévu pour début juillet et dont le titre et le, ou les scenarii sont encore inconnus à ce jour - Woody ne dévoile jamais ses sources et moi j'aime les surprises. Donc c'est pour cela que je l'aime - pendant donc que je m'efforce de produire des syllogismes qui n'ont de pertinence que leur superficielle parure, pendant que mon frère s'arrache les jambes et les synapses sur son suprême Daccordi, quelques kilomètres plus au nord, et alors même qu'il serait grand temps pour moi de me pencher plus avant sur les dernières lignes des Fondements MDM de ce cher Manu-Manu, ou de feuilleter hardiment l'Enquête sur l'entendement humain, je faribole sur mon clavier et je cajole mes aménités.

Amour, je prends congé de ta menteuse école
Où j'ai mal employé ma jeunesse trop folle
Qui nous paie de créances et d'un songe frivole
P.R.

Mais je pars tu me retiens, je m'en vais tu me reviens, oublie moi, que tu fus mien. En réalité jamais cela n'aura été. Nous continuerons de nous aimer. Boisée de septembre, boisée d'été, et jamais assez qu'il n'en faut pour oublier. Je fus tienne et ces chaînes que nous croyions d'acier et bien peu de temps leur fallut pour se briser.
Personne ne m'a comprise j'en suis bien aise, nous deux hier moi seule cette heure, les jours s'en sont allé, je demeure.

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